Ils sont des milliers à se présenter à l’ffice des trangers à Bruxelles espérant obtenir l’asile dans notre pays ces derniers mois. Ils sont visibles, les médias en parlent quotidiennement. Et comme à toutes les frontières de l’espace Schengen le filtrage bat son plein, filtrage basé sur les décisions et les déclarations de l’homme tout puissant lecrétaire d’tat Théo Francken
.Nouveauté de la semaine :Francken adresse aux Afghans une lettre de dissuasion de demander l’asile en Belgique.Cette foisci Theo a choisi comme cible les Afghans puisqu’ils sont majoritaires à leur porte actuellement et qu’il veut désengorger l’accueil! Il y a 2 mois c’étaient les Irakiens. Et après…?http://www.gettingthevoiceout.org/deportation-collectives-de-78-irakiens-vers-bagdad/
Actuellement il y a des dizaines d’Afghans enfermés dans les centres fermés, pour certain en attente de leur interview au CGRA, pour d’autres en attente de leurs expulsions dans le cadre de Dublin vers parfois des pays dont le traitement de demandes d’asile pose question. Communiqué CRER/MRAX: http://regularisation.canalblog.com/archives/2015/11/28/32992570.html
Ceci n’est pas une politique typiquement elge mais une politique d’exclusion généralisée à toutes les frontières de l’espace Schengen, les stratégies de chaque pays étant différentes, stratégies toujours accompagnées de grande déclaration officielle des politiques. Par exemple actuellement à la frontière de la Macédoine seules les Irakiens, les Afghans et les Syriens peuvent passer ! Les autres (beaucoup d’raniens)sont parqués le long des frontières et entament des actions de protestation (grève de l faim…..) http://bordermonitoring.eu/
Les tats croient devoir se « protéger » d’une « invasion », utilisant la répression, l’enfermement et l’expulsion. L’Europe ne veut plus de réfugiés.
Frontières après frontires, nationalités après nationalités, le “flux” est interrompu avec répression. La diabolique Europe ferme ses portes.
C’est à ça que servent les frontières et les états: ficher, réprimer, et expulser les “indésirables”