De plus en plus de contacts avec des « ExpulséEs « , qui dès leur arrivé dans leur pays d’origine se sont donné les moyens en quelques mois de refaire le voyage et revenir chez nous.
« Ils ont leurs amis, leur famille ici et ils ont décidé que leur vie est ici.
Depuis leur retour ils vivent dans la clandestinité totale avec l’aide de la famille, d’amis, de voisins, de propriétaires, de patrons parfois.
Ils n’attendent plus rien de l’Etat ni de nouvelles lois de régularisation mais ils savent qu’ils peuvent compter sur une solidarité sans faille de leur entourage !
Leur vie n’est pas facile mais a pour eux nettement plus de sens que la vie dans leur pays d’origine qu’ils connaissent parfois à peine, ou ils n’ont que très peu ou plus d’attaches et aucun moyen d’existence !
D’autres n’ont pas cette possibilité et vivent cloîtrés, parfois cachés dans un pays qui ne veut pas d’eux non plus.
Ils guettent toute possibilité de fuite vers un pays où ils pourraient vivre et être libres , toutes les possibilités de franchir les frontières cadenassées par l’Europe et son armée nommée FRONTEX.
Malgré la construction de l’ Europe Forteresse avec son système répressif des plus sophistiqué, l’humain continuera de s’approprier le choix de vie et de liberté où il le veut et comme il le veut . «
Un clandestin
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